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@. Peter, Prospectives et rétrospectives des recherches en économie des transportsTrafic induit : Trafic engendré, non par les individus, mais par les infrastructures de transport, et dont un exemple pourrait être l'apparition spontanée d'automobiles en circulation sur les routes ; ce phénomène n'a malheureusement encore jamais été observé, mais peut malgré cela être utilisé comme argument contre toute nouvelle extension du réseau de transport Utilité externe : Avantages que les transports procurent par enchantement ; doit être considérée comme au moins égale aux coûts externes, ce qui, tout compte fait, permet fort opportunément de clore le débat sur les coûts externesPour une politique moderne des transportsLes élus qui déclarent avec emphase «l'A 400, c'est une question de vie ou de mort pour le Chablais» ou «avec l'A 51, ce sera la révolution économique à Gap» se bercent d'illusions : l'autoroute accentue les tendances existantes, désertification des zones fragiles et concentration urbaine, Termes et concepts détournés ; implications pour la politique des transports, pp.36-37, 1995.

@. Des, C. , L. Politique-routière, and . Au-président-de-la-république, La relation de cause à effet entre infrastructures routières et aménagement du territoire est toujours invoquée : elle est rarement théorisée et, en tout cas, elle n'est pas clairement établie. La fréquence de l'argumentation, avant réalisation, a pour contrepartie la faiblesse de la preuve quantifiée, après réalisation, p.67, 1992.

. Francis-),-"-l-'effet-tgv:-une-france-À-géométrie-variable-ou, le TGV brouilleur de cartesLe réseau du Schéma directeur entraînera donc une réduction globale des temps de parcours entre les plus grandes villes du pays ; il profitera aussi à d'autres, plus petites, opportunément placées sur les lignes du réseau. Mais l'effet réducteur entre les grands pôles géographiques (...) sera aussi effet distanciateur pour les villes locales ou régionales, parfois importantes, situées dans l'aire d'influence des grands pôles urbains. C'est pourquoi un effort considérable s'impose à l'échelle régionale -et interrégionale -pour contrebalancer l'effet inégalisateur du réseau TGV sur les fines mailles du réseau de villes, celles-là mêmes sur lesquelles comptent s'appuyer les aménageurs de l'espace pour éviter la métropolisation extrême du territoire et de la population française... À moins, bien sûr, que l'on ne compte pour cela sur l'autoroute, ?GÉRONDEAU (Christian), Les transports en France ; quelques vérités bonnes à dire, pp.13-16, 1992.

D. Lara, Pour une politique soutenable des transportsLa situation que nous connaissons actuellement en ville résulte pour l'essentiel d'une approche qui a visé avant tout à adapter la ville à l'automobile, en particulier par la création d'infrastructures. L'observation, depuis un certain nombre d'années, d'un parallèle entre l'extension continue des infrastructures et l'extension, III -Sur l'intérêt de nouvelles solutions techniques et organisationnelles ?DRON, 1995.

. Aujourd-'hui, amélioration temporaire apportée à la circulation peut s'accompagner, en zones à population croissante, de flux supplémentaires, de problèmes de congestion repoussés plus loin. D'autres logiques doivent être miese en oeuvre ?CERWENKA (Peter)Termes et concepts détournés ; implications pour la politique des transports", in-CEMT, Prospectives et rétrospectives des recherches en économie des transportsGestion des transports : Foi dans la possibilité d'instituer une organisation rationnelle et efficace de la demande de transport pour pallier l'insuffisance d'infrastructures ; planche de salut de l'industrie automobile, qui pense que cette méthode lui permettra de vendre encore plus de véhicules en dépit de la quasi-saturation du réseau routierLa littérature consacrée aux transports et à l'aménagement du territoire s'est enrichie de termes nouveaux, ?BRUNET (Roger), "L'enjeu du transport", L'Espace Géographique, 1993.

E. Carrère-double-bourdillon, N. Pisani, and . Smit-kroes-divorcent, et Bruxelles manipule le fameux principe de subsidiarité Que signifient cette agitation et ces néologismesLes nécessités d'une implication de la puissance publique dans la recherche d'une rationalité et d'une cohérence en matière de politique d'infrastructure", in-CEMT, Prospectives et rétrospectives des recherches en économie des transportsDeux remarques s'imposent : -tout d'abord, alors qu'une politique de développement des infrastructures nécessite une vision à long terme, les considérations politiques et financières privilégient le plus souvent le court terme au détriment du long terme ; -en second lieu, alors que l'insuffisance d'investissement en infrastructures, en créant la pénurie, fait des capacités existantes une ressource rare et que la rationalité économique voudrait que l'on gère cette rareté par les prix ou, à défaut par la règlementation, on se refuse, pour des raisons diverses de nature souvent politique, à appliquer l'un ou l'autre de ces moyens, et on en arrive, GDR 903 "Réseaux" Rapport "Architecture des réseaux de transport et développement du territoire, pp.138-139, 1995.

. Jean-pierre, La gestion routière est encore balbutiante la gestion de la mobilité par les instruments économiques est repoussée à plus tard, la régulation de la mobilité par la gestion des espaces est toujours mentionnée pour mémoire Pour une politique soutenable des transports, Rapport au Ministre de l'Environnement, La Documentation FrançaisePar ailleurs, on sait que les décisions urbanistiques peuvent sécréter des demandes de mobilité différentes : ainsi, le zonage des POS accroît tant les déplacements du domicile vers le lieu de travail que les trajets automobiles nécessaires pour les achats courants. Or les politiques de relance de l'économie se sont longtemps exclusivement appuyées sur la construction d'habitations neuves pour répondre à la demande de logements, en négligeant la réhabilitation de l'existant, compensant le coût de la construction par l'occupation de terrains excentrés à faible prix. Elles ont accéléré l'explosion des périphéries urbaines peu denses (...) et engendré une demande accrue de mobilité routière sans parler des coûts élevés d'assainissement et de desserte des communes au tissu lâche. Aujourd'hui, le redéploiement des villes sur elles-mêmes est, dans ce contexte, difficileTransport, écologie, urbanisme : la triple alliance ?, Notre approche des transports est dominée par une culture d'infrastructure Éditorial paru dans la revue Transports Urbains sur la question, la conclusion fait figure de constante : on ne règlera pas la question de la mobilité quotidienne sans finir par toucher à l'intouchable : les formes spatiales de la croissance urbaine, pp.29-32, 1994.