Ornement et subjectivité, de la tradition vitruvienne à l'âge numérique - École des Ponts ParisTech Accéder directement au contenu
Article Dans Une Revue Le visiteur Année : 2011

Ornement et subjectivité, de la tradition vitruvienne à l'âge numérique

Antoine Picon

Résumé

On parle souvent aujourd'hui d'un " retour de l'ornement " lié à l'avènement d'une architecture numérique volontiers encline à jouer sur les effets de texture et de couleur. Mais l'ornement auquel il est fait allusion n'a pas grand-chose à voir au premier abord avec celui dont parlait la théorie architecturale classique ou encore la tradition beaux-arts. Tandis que l'ornement traditionnel était localisé, l'ornement numérique règne souvent sur des pans entiers de la façade. L'ornement se parait autrefois d'une dimension symbolique affirmée ; la plupart des théoriciens contemporains de l'ornement reconnaissent qu'il ne possède aucune signification. En fait, le seul point commun entre l'ornement d'hier et celui d'aujourd'hui pourrait bien résider dans les liens qu'entretient la question ornementale avec celle de la subjectivité. Ce sont ces liens que voudrait essayer de clarifier la communication proposée

Mots clés

Fichier non déposé

Dates et versions

hal-00659597 , version 1 (13-01-2012)

Identifiants

  • HAL Id : hal-00659597 , version 1

Citer

Antoine Picon. Ornement et subjectivité, de la tradition vitruvienne à l'âge numérique. Le visiteur, 2011, 17, pp.65-75 et 176-180. ⟨hal-00659597⟩
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